A LOmbre Des Maris Série 2 Dixième Partie : Mes Retrouvailles Avec Fadhela
Il faut que je tavoue que mon cur penche pour un autre homme,
Nous nous parlons, nous nous voyons souvent et nous sommes même sortis ensemble
Il va me garantir une belle vie, il dispose dune maison, il est riche
Il ne lui manque quune épouse.
Djaffar Ait Menguellet Lappel (Traduction libre de lauteur)
Ma vie érotique avec mes deux femmes Wissam et Farida se poursuivit un certain temps, de manière plaisante et agréable. Le ventre de Wissam grossissait à vue dil et, paradoxalement la rendait encore plus belle et désirable. Elle-même, malgré quelle devenait plus lourde et quelle était handicapée par son nouveau tour de taille, avait encore des besoins sexuels tyranniques. Elle les assouvissait comme elle pouvait - la plupart du temps en levrette, car cétait pour elle la position la plus facile à tenir et passait le relai à Farida pour me finir. Ce fut une période vraiment exceptionnelle: je passais plus de temps au lit ave Farida quavec Wissam, mais aucune des deux nétait jalouse de lautre. Elle me partageait de la manière la plus naturelle possible. Je faisais lamour avec Wissam, généralement en fin daprès-midi, après quelle ait fait sa sieste et quelle fut reposée. Et je passais la nuit dans le lit de Farida souvent avec Salah, son mari, à nos côtés à nous envoyer en lair comme des bêtes. Ce fut une période vraiment heureuse ; avec aucune ombre au tableau.
Le changement vint avec la naissance de notre , à Wissam et à moi. La première conséquence de laccouchement, cétait que Wissam prit presque naturellement ses distances avec moi. Pour peu de temps, me disait-elle. Il lui fallait prendre ses repaires de nouvelle maman et shabi à élever un . Elle mit au monde un joli petit poupon un garçon quelle prénomma Iliès. Le petit bout de chair de trois kilos à peine, allait bouleverser toute notre vie. Il devint immédiatement le centre de la vie de toute la maisonnée.
Je savais que jétais injuste, mais je ny pouvais rien. Heureusement que comme à chaque fois que jétais dans une situation difficile, je pouvais toujours compter sur la fidèle Soraya, mon assistante. Elle me cajola, avec son savoir-faire habituel et me laissa la maltraiter sans jamais se plaindre. Jallais même écrire quelle prenait du plaisir à se laisser maltraiter par moi. Elle maimait vraiment et était à chaque fois très heureuse que je revienne à elle. Même si je ne lavais jamais réellement abandonnée, je ne moccupais delle que quand jétais dans le besoin. Cétait bien sûr injuste de ma part, mais cétait comme ça ! Soraya était pour moi, le rocher solide vers lequel je me retournais, chaque fois que jétais dans le besoin. Et à chaque fois, elle était là. A mon service. Ou plutôt au service de ma libido et aussi de ma mauvaise humeur.
Tout mon côté pervers et il était grand ressortait en ces moments là. Et ma pauvre Soraya devait accepter que je la traite comme une chienne soumise à mes désirs de satyre ou comme une pute qui était à mon seul service. Aujourdhui encore, je me pose la question sur limmense patience dont elle avait fait preuve envers moi, malgré mon comportement de goujat. Ce fut Farida qui mexpliqua un jour, que Soraya maimait vraiment et quelle avait été très heureuse à chaque fois que je passais un moment avec elle.
Soraya soccupa donc de satisfaire ma libido tyrannique tout le temps que dura « labsence » de Farida et surtout de Wissam. En fait, je nai refait lamour avec ma Venus noire quau bout de six mois, après la naissance du bébé. Le temps quelle reprenne son travail, après son congé maternité, prolongé par une mise en disponibilité de trois mois supplémentaires. Nous nous sommes revus régulièrement ; le plus souvent dans la maison de Farida, dans laquelle elle sétait installée avec notre fils. Toute la famille ne vivait plus que par et pour Iliès. Salah était devenu un vrai papi gâteux. Farida, aussi sétait découvert une âme de mamie, totalement au service de son petit fils. Rayan était un papa aux anges, toujours à lécoute. Quant à Wissam, elle était devenue une mère exclusive. Plus rien ne comptait hors dIliès. Je me sentais presque rejeté. Je navais pas aimé cette période. Je regrettais presque la naissance de l, qui était pourtant le mien, mais envers lequel je navais pas de sentiments paternels particuliers. Je ne le considérais pas vraiment comme mon fils. Cétait pour moi le fils de Wissam et de Rayan, dont, dailleurs il portait le nom.
Mais la venue au monde dIliès me permit de renouer le fil avec mon passé lointain.
En la voyant, jeus un léger mouvement de recul. En une fraction de seconde, toute une partie de mon passé métait remonté en tête, accompagné de toute la rancur que javais accumulée. Des années durant, je lui en avais voulu de mavoir quitté pour se marier ave un autre. Et, je métais souvent dit que mon aventure avec Wissam navait pu avoir lieu que parce quelle en était le sosie parfait. Javais limpression en devenant son amant, que je prenais ma vengeance contre celle qui mavait abandonné pour un péquenot qui navait rien de plus que moi, sinon quà lépoque, il avait déjà une situation et quil avait les moyens de lépouser immédiatement.
Fadhela eut elle aussi un instant dhésitation en me voyant devant elle. Et puis immédiatement je vis un merveilleux sourire illuminer tout son visage. Le même sourire quil y a vingt-cinq ans. Le même sourire que celui de Wissam, sa nièce.
- Bonjour Rafik, fit-elle de la même voix chaude qui avait bercé ma jeunesse ! Comment vas-tu ? Wissam mavait dit que tu serais là.
- Et tu es venue quand même ! Quel courage ! Tu nas pas peur que ton mari sache que tu as rencontré ton ancien fiancé ?
Je ne pouvais pas mempêcher dêtre méchant. Je voulais presque la blesser. Je voulais lui faire mal. Comme elle, elle mavait fait mal. Je vis son sourire seffacer un très court instant, avant de revenir comme par enchantement. Dévidence, elle sattendait à ma réaction. Wissam, à qui javais tout raconté sur mes rapports avec sa tante paternelle, lui avait certainement dit que je lui en voulais encore beaucoup et que ma blessure damour nétait toujours pas cicatrisée.
- Bien sûr que mon mari ne sait pas que jallais te rencontrer. Il ne connait même pas ton existence. Je ne lui ai jamais parlé de toi. Et pour cause, cest un jaloux intégral. Dune part, il ne maurait pas épousé sil avait su que javais été amoureuse dun autre garçon et que javais flirté avec lui. Cest un traditionaliste, devenu un islamiste depuis une vingtaine dannées. Et dautre part, sil apprenait que je ne suis venue visiter ma nièce que parce que je savais que tu seras là, il maurait égorgée.
- Tu es tombée aussi bas ? Tu as épousé un monstre ? Et tu es restée avec lui.
- Il nest devenu monstre quaprès notre nuit de noces. Ce fut là que javais découvert sa vraie nature : un traditionnaliste avec toutes les tares qui vont avec. Pour lui une femme doit être enfermée et se « hidjabiser ». Elle doit faire des s et soccuper de sa maison. Et cest tout. Il ma obligée, dès notre premier à quitter mon travail. Et depuis, je ne sorts pratiquement pas. Heureusement que jai eu trois s qui ont été mon seul réconfort pendant tout ce temps, et le centre de ma vie.
- Je ne sais pas si je dois te plaindre ou en rire. Tu sais certainement combien jai souffert de ta trahison. Je navais pas compris pourquoi il te fallait absolument te marier aussi jeune. Alors que tu me répétais à longueur de temps que tu maimais. Jai mis beaucoup de temps à me remettre de ton mariage. Mais au moins pendant tout ce temps-là, je pensais que tu étais heureuse. Et aujourdhui, tu viens mannoncer que ta vie dépouse a été et est encore aujourdhui un enfer. Alors pourquoi ?
- Je nen pouvais plus de vivre avec mes parents. Tu connais ma mère Dieu ait son âme - elle a toujours été très méchante. Elle me maltraitait beaucoup et me soupçonnait dêtre une fille de murs légères, prête à moffrir au premier venu. Jai honte de te le dire, mais elle mavait surpris un jour entrain de me caresser et elle en avait fait un drame. Et puis les parents de mon mari étaient venus demander ma main. Ma mère navait pas hésité une seconde. Elle la leur accorda, sans même men avertir. Elle savait que tu existais, et elle ne tappréciait pas beaucoup. Tu nétais pas un bon parti pour moi. En plus, elle savait quil te fallait encore quelques années pour être prêt au mariage. Trop de temps, par rapport au risque que la famille courait ave moi, toujours célibataire. Et tu connais la suite.
- Cela ne me suffit pas comme explication. Tu aurais pu men parler. En parler avec ton frère. Il aurait pu intercéder en ma faveur. Tu aurais pu fuir et venir chez moi. Tu naurais pas dû accepter aussi facilement. Il y a certainement autre chose.
- Oui ! Il était très beau ! Et jai cédé à la tentation. Il était limage même du prince charmant. Et quand nous sommes sortis ensembles, après sa demande en mariage, il avait été tellement gentil, tellement intentionné, que je suis tombé dans le piège. Je métais dit que je gagnais au change, au moins physiquement. Tu étais beau toi aussi, mais pas comme lui. Tu as toujours été gentil, mais lui il avait la galanterie en plus. Du moins cétait ce que javais cru.
- Et maintenant ?
- Ne retourne pas le couteau dans la plaie. Je nai pas mis très longtemps à me rendre compte de mon erreur. Mais cétait déjà trop tard. Jétais son épouse et je lui devais respect et obéissance. Jétais prise au piège.
- Jespère que sexuellement au moins, ça marche entre vous.
- Tu penses ! Même au lit, cest un traditionaliste. Je ne lai encore jamais vu nu. Et lui non plus ne ma jamais vue nue. Il ne me fait lamour que la nuit, dans le noir. Et il refuse absolument que jaie une quelconque réaction de plaisir. Il répète toujours que seules les filles de rue prennent du plaisir en copulant. La copulation nexiste que pour procréer et, marginalement, pour permettre au mari de prendre son plaisir. Lépouse jamais !
Cette rencontre dans la maison de Farida qui nous surveillait de loin, par peur que je brusque Fadhela dont elle avait appris quelle avait été mon amour de jeunesse dura environ une heure, que nous passâmes à discuter ainsi de sa vie depuis vingt-cinq ans. Elle mapprit aussi quelle avait trois une fille de vingt ans, qui avait entrepris des études de médecine, et deux garçons qui étaient encore au lycée et quelle avait une énorme complicité avec eux. La fille surtout qui supportait mal le comportement rétrograde de son père vis-à-vis delles la mère et sa fille - quil faisait surveiller de près. Je narrivais pas à analyser létat mental dans lequel les confidences de Fadhela mavaient mis. Il est certain que je ne lui en voulais plus autant. Il y avait en moi un mélange de pitié pour cette femme pleine de joie de vivre, transformée par son mari en machine à procréer et en prisonnière et de tendresse que je sentais monter en moi de manière inquiétante. Javais peur de me remettre à éprouver pour Fadhela des sentiments qui nous mèneront elle et moi sur la pente glissante des relations interdites.
Je sentais que Fadhela aussi était sur le mode « nostalgie ». Si elle était venue rendre visite à sa nièce, cétait à cause de moi. Si cétait vrai, cétait parce quelle avait une idée pas très nette derrière la tête. Et je me disais que cette idée ne pouvait être quune reprise de nos relations, là où elles sétaient arrêtées, il y a vingt-cinq ans. Pendant tout ce temps, elle navait pas vécu une seule heure de la vie dont nous avions rêvés elle et moi pendant les deux années où nous étions pratiquement fiancés. Nous avions beaucoup flirté et nous nous parlions beaucoup de sexe. Elle mavait souvent laissé la caresser, même dans ses endroits les plus intimes et je lavais souvent faite jouir en la caressant, en lembrassant et surtout en lui appliquant des cunnilingus denfer. Elle me le rendait bien en me masturbant et en me faisant jouir avec sa bouche. Elle et moi attendions avec impatience le moment où nous pourrions faire vraiment lamour ensemble. Elle nignorait rien de mon physique et elle nhésitait pas à se mettre toute nue devant moi.
Et la voilà aujourdhui en face de moi, quémandant en silence une reprise de nos relations. Elle nosait pas me le demander, mais je sentais quelle était vraiment dans le besoin. Je soupçonnais un peu Wissam de lui avoir tout raconté sur notre relation torride et davoir semé en elle la graine du désir. Je ne savais pas quelle position il me fallait prendre. Dune part, moi-même je nétais pas libre : entre Wissam, dont elle savait quelle était ma maîtresse, Farida, dont Wissam avait aussi dû lui la position vis-à-vis de moi et Soraya, dont elle ne connaissait pas encore lexistence, normalement il ne me restait pas de temps pour moccuper dune quatrième maîtresse. Dautre part, je me demandais comment elle pouvait se débrouiller pour trouver le moyen de me rejoindre chez moi, sans éveiller les soupçons de son mari. Je le lui dis.
- Jaimerai bien te revoir. Mais je me demande comment faire. Tu sembles ne disposer daucune liberté. Tu ne peux certainement pas te libérer toute une matinée ou une après-midi pour me rejoindre chez moi ;
- Tu veux encore de moi ? Tu maimes encore un peu ?
- Je ne sais pas si je taime encore, mais tu as réussi à réveiller en moi du désir. Ne men veux pas dêtre aussi cru, mais si tu regardes un peu sur le devant de mon pantalon, tu verras une grosse bosse qui te prouveras combien jai envie de te tirer. Jai envie de te montrer tout ce que tu as perdu pendant toutes ces années. Tu es choquée ?
- Non ! Moi aussi jai envie de goûter au plaisir sexuel. Et Wissam ma affirmé que dans ce domaine, tu es un as. Bien sûr que je pourrais te rejoindre, une ou deux matinées par semaine, chez toi. Mon mari part deux fois par semaine à Oran pour récupérer des produits pour son magasin du Hamiz. Cest un gros commerçant en produits électroniques contrefaits. Cest comme cela quil est entrain de faire fortune. Et ces jours là, je suis seule à la maison. Si je navais pas peur que les voisins te surprennent, je taurais même demandé de venir me faire lamour chez moi. Dans le lit conjugal. Cela me ferait tellement plaisir de le tromper avec toi, sous son propre toit.
/
Nous nous donnâmes rendez-vous chez moi pour le lendemain matin. A huit heures ; après le départ des s, qui à la faculté de médecine, qui au lycée. Le mari, lui, prenait la route aux aurores, pour Oran. Elle arriva chez moi à huit heures passée de quelques minutes. Elle avait pris le bus pour arriver au plus tôt. Elle sonna timidement, comme si elle était gênée par ce quelle allait faire avec un amant. Elle était dans le pécher et craignait la sanction divine. Jouvris vite et la fis entrer dans le hall. Je refermais la porte et la pris dans mes bras pour la serrer très fort. Toute la nuit je navais pas arrêté de penser à elle. A ce que jallais faire avec elle. A ce que jallais faire delle. Je me disais que jallais rattr tout le temps perdu et prendre mon pied avec elle. Je me disais que jallais la transformer en chienne pour lui faire payer toute ma souffrance passée. Je me disais quelle ne méritait pas cela et quau contraire jallais me comporter avec elle en amant doux et attentionné et à la hauteur. Que jallais la faire grimper aux rideaux et lui faire découvrir les merveilles de lérotisme. Je mis du temps à mendormir tellement jétais impatient de la revoir. Et mon sommeil était lui-même rempli de Fadhela, Farida et Wissam qui se disputaient mes faveurs.
De nous deux, ce fut Fadhela la plus intimidée. Elle avait perdu lhabitude des rencontres galantes et ne savait pas comment se comporter. Elle semblait mal à laise entre mes bras. Je sentais son cur battre très fort, comme devait battre le cur dune jouvencelle à son premier rendez-vous amoureux. Elle avait encore son hidjab en soie noire quelle portait la veille. Je voulais quelle sen débarrasse pour paraître devant moi, comme elle était, il y a si longtemps. Je lui demandais donc denlever son Khimar pour dégager sa chevelure et son hidjab pour offrir son corps à mon regard concupiscent. Je nessayais même pas de faire le geste de la déshabiller moi-même. Non pas parce quelle refuserait, mais parce que jétais tellement maladroit que javais peur de lui déchirer ses vêtement. Dun geste gracieux, elle dégrafa lépingle en or qui tenait son foulard et sa longue chevelure, couleur noir corbeau, ruissela sur ses épaules, lui donnant lair davoir dix ans de moins quavec son khimar.
Je la regardais avec des yeux étonnés. Elle comprit que je la trouvais aussi belle quavant. Elle continua de se déshabiller en faisant passer par-dessus sa tête le hidjab noir, fait de plusieurs couches de tissu superposées pour enlever la transparente naturelle de la soie. Elle resta avec une petite chemise de nuit transparente, elle aussi de couleur noire, qui laissait deviner un soutien gorge à balconnets et une petite culotte, tous les deux de couleur blanche. Elle était magnifique ! Et tellement bandante. Elle ne semblait pas très à son aise. Elle paraissait gênée dêtre presque nue devant moi. Depuis le temps, elle en avait perdu lhabitude. Elle ne savait plus quoi faire de ses mains. Un moment elle les mettait devant sa poitrine comme pour me cacher ses seins que je pouvais voir par transparence. Parfois elle les mettait devant son bas ventre pour essayer de me cacher la vision de son entrecuisse qui se devinait sous le tissu transparent de la chemise de nuit.
Pour mettre fin à son embarras, je la soulevai du sol et la portai directement dans la chambre à coucher. Je la jetai littéralement sur le lit et la fis sallonger en travers. Je restai un moment debout à la contempler, avant de venir mallonger à ses côtés. Je lui susurrais à loreille quelle était toujours aussi belle et désirable quavant. Et que jallais lui faire vivre des moments intenses de plaisir. Et que si elle me laissait faire, elle se rappellera de ces moments toute sa vie. Jappuyais mes paroles par une série de baisers doux et tendres sur son visage et sur son cou nu. Elle commençait à se détendre et je sentis son corps frémir sous mes baisers. Je passais donc aux caresses. Je fis entrer une main sous le tissu de la chemise de nuit pour quelle soit au contact direct avec sa peau. Malgré le temps passé et lâge, sa peau était restée aussi douce quavant : une peau de bébé, lui avais-je répété à lépoque. Mes caresses se firent de plus en plus pressantes et insistantes : sur son ventre, autour de ses seins, sur ses seins qui avaient perdu un peu de leur fermeté dantan, mais qui étaient toujours aussi sensibles, sur ses épaules rondes et fermes.
Je voulais la voir toute nue. Je voulu la débarrasser de sa chemise de nuit et des autres tissus quelle avait encore sur elle et fis le geste de la déshabiller. Elle me précéda et en un tour de main elle se débarrassa de la chemise de nuit, du soutien gorge et, après une légère hésitation, de la petite culotte. Elle était maintenant toute nue. Splendide et offerte. Je ne pus mempêcher de faire le parallèle avec le corps de Wissam. Exactement le même ; avec quelques années de plus et un empâtement coquin au niveau de sa taille. Elle avait aussi un tout petit ventre, qui la rendait encore plus désirable. Et le désir se voyait à la bosse impudique que javais sur le devant de mon pantalon de pyjama. Je pris sa main pour la poser sur la bosse. Elle eut un léger geste de recul, puis se rattrapa en semparant du monstre qui frémissait dimpatience/
- Ekhordjih men-essarwal ! Mazalou kima zman ! Kbir ou qwi ! Hakih ! (Sors-le du pantalon ! Il est toujours comme avant ! Grand et puissant ! Caresse-le !)
Je sentis sa main trembler un peu lémotion ! puis passer par-dessous lélastique du pantalon et aller directement semparer du manche. Je reçus une vraie décharge électrique ! Je ne pus mempêcher de pousser un petit gémissement de plaisir, tant sa main avait gardé toute sa douceur davant. Elle promena sa main sur tout le manche, jusquaux couilles et revint titiller longuement le gland. Instinctivement je poussai les hanches vers lavant pour lui signifier de continuer les caresses et même dentamer une masturbation. Elle comprit très vite ce que je voulais. Elle me fit enlever complètement le pantalon et je restai habillé du seul tee-shirt que je portai. Jétais maintenant allongé sur le dos, le manche en érection maximale, brandi vers le plafond. Fadhela avait relevé le tronc pour mieux apprécier le monstre et pour être plus à laise pour me caresser.
Elle avait les yeux qui brillaient de lubricité et jouait avec mon manche comme si cétait un jouet mystérieux. Elle ne disait rien, mais chaque fois quelle tournait son visage vers moi pour me sourire, je voyais combien elle appréciait les mensurations du monstre ; ainsi que sa fermeté et sa douceur.
- Ach-hal chbab ! En-sit kifach kan ! En-sit kifach hlou ! Bghit en-dih m3aya ki en-roh ! (Quest-ce quil est beau ! Javais oublié comment il était ! Javais oublié combien il était doux ! Jai envie de le prendre avec moi quand je partirai !)
Et elle avança la tête pour se rapprocher de lui. Elle déposa un tout petit baiser sur le méat du gland. Puis elle sortit sa langue pointue et agile et se mit à lécher tout le gland avant de passer à la hampe et aux couilles. Sa langue était aussi électrifiée que ses mains. Je sentais mon manche qui sursautait dans sa main droite. Javais limpression quil allait exploser tellement il avait grossi. Mon envie delle ne faisait que croître. Et avec elle, le besoin de la posséder immédiatement. Je navais plus la patience dattendre la fin des préliminaires pour la pénétrer. Je la laissai me titiller le manche encore quelque secondes, mais au moment où elle sapprêtait à ouvrir la bouche pour une superbe fellation cela lui rappela quil y a longtemps, elle recevait régulièrement mon manche dans sa bouche, et quelle avait beaucoup aimée je larrêtai en lui disant que je mourrais denvie de passer aux choses sérieuses.
- Ma yendjemch yestena ! Lazem-lou yedkhoul fi souwtek ! 3amrou ma dkhoul fi souwtek ! Wekt i-dhougha ! (Il nest plus capable dattendre ! Il lui faut pénétrer dans ta chatte ! Il nest encore jamais entré dans ta chatte ! Il est temps quil la goûte !)
Je vis le visage de Fadhela séclairer dun immense sourire. Elle aussi voulait passer à lessentiel. Elle voulait gouter à mon manche, dont elle était entrain de tester la force et la douceur. Elle accentua le sourire quelle avait sur les lèvres et me demanda de la prendre.
- Khoudh-ni ! Hayati kamla nemt zebek fi hatchouni ! Nemt yech-3al ennar fiya ! Nemt yetteffi nar li cha3lou ! Nemt yefferragh fiya litrat en-ta3 ezzal ! Yerekebli el-djouf ! (Prend-moi ! Toute ma vie, jai rêvé de ton zob dans mon vagin ! Jai rêvé quil allumait un incendie en moi ! Jai rêvé quil éteignait lincendie quil a lui-même allumé ! Jai rêvé quil déversait des litres de sperme en moi ! Quil mengrossait !)
.../
Je vins me mettre entre ses genoux légèrement relevés et lui fit écarter les cuisses de manière à avoir facilement accès à sa chatte. Je connaissais déjà cette chatte pour lavoir, il y très longtemps, caressée et sucées. Elle avait gardée sa beauté initiale. Elle avait gardé la même couleur chocolat un peu plus foncé que le reste de son corps. Ses grandes lèvres étaient toujours aussi longues et ourlées et, daprès ce que je ressentais à travers le gland de mon sexe qui sétait posé sur elles, aussi fermes. Lintérieur- les petites lèvres fines, palpitantes et luisantes de mouille, et le clito en forme de tout petit zob - avait la même couleur cramoisie quavant. Et lintérieur sombre de son entrée de vagin était aussi mystérieux quil y a vingt-cinq ans, quand elle me demandait de lui bouffer la chatte. Tout ce que javais en tête pour le moment, cétait de rattr tout le temps passé sans avoir été le maître de cette chatte qui avait été lobsession de ma vie.
Elle était maintenant sous moi, les cuisses écartées, les genoux relevés, prête à recevoir mon manche. Elle avait tendu les bras pour mattr par la taille et participer à la pénétration. Visiblement, elle était dans le même état dattente que moi. Une attente en même temps insupportable et délicieuse. Nous étions en attente dune délivrance que nous voulions immédiate. Ses bras commençaient à tirer sur ma taille pour que je commence à la pénétrer. Elle ne disait rien, mais ses yeux brillaient de mille étoiles. Ils minvitaient ils mordonnaient même - de la tirer sans plus attendre. Javais une envie irrépressible de la pénétrer en force. De lui faire mal, dès le premier contact avec sa chatte. Mais je me retenais. Je voulais y aller lentement ; faire monter son excitation et son désir de plusieurs crans. Je voulais lentendre me supplier de la pénétrer et de lui faire du bien. Cétait cela quelle disait, il y a vingt-cinq ans, quand je caressais sa chatte avec mon sexe, en faisant un effort surhumain pour ne pas dér : « fais-moi du bien !» Et je mefforçais de lui faire du bien, en la faisant jouir avec les caresses de mon gland entre ses grandes lèvres, tout en faisant attention à ne pas provoquer daccident.
Je présentai donc le gland de mon gourdin entre les grandes lèvres mouillées et caressai avec le clitoris et les petites lèvres palpitantes. Fadhela avait fermé les yeux, pour mieux ressentir les sensations quelle était entrain de vivre. Son visage était toujours éclairé par le sourire merveilleux qui ne lavait pas quitté depuis quelle était allongée ainsi sous moi, offerte à mon désir de la posséder. Elle sétait mise à lécoute des sensations que lui procurait le gland entrain de lui caresser la chatte. Javais pris le manche dans ma main droite et le manuvrais pour faire glisser le gland verticalement entre les grandes lèvres, en allant cogner à chaque fois sur le petit clito super sensible. Elle ne disait rien mais poussait des petits sifflements de plaisir. Je ne pouvais mempêcher de penser à la manière de prendre du plaisir de Wissam : exactement la même. Elle sifflait, la bouche à moitié ouverte, en inspirant lair dont elle avait un grand besoin. Je me faisais la réflexion, tout en continuant mes caresses que Fadhela et Wissam avaient les mêmes gênes. Sa respiration devenait de plus en plus rapide et ses sifflements de plaisir devenaient plus sonores. Son magnifique corps nu était tendu comme un arc sur le point de lâcher sa flèche. Un corps complètement en attente de la pénétration qui allait le délivrer de la pression qui était en elle. Pression qui était aussi en moi.
Et brutalement, jenfonçais mon manche jusquau fond du vagin, inondé et chaud, de ma maîtresse. Bizarrement le tunnel que je traversais était très étroit. Je ne mattendais pas à cela : vingt-cinq ans à se faire tirer par son mari aurait dû lui élargir le vagin. Ce nétait absolument pas le cas. Je lui fis très mal. Elle poussa un long cri de douleur, qui dura pendant tout le trajet de mon manche jusquau fond du tunnel et quelle essaya datténuer en découvrant mon étonnement. Dès le début de la pénétration et de la douleur, elle avait ouvert les yeux pour regarder et essayer de comprendre. Elle comprit très vite, et moi aussi par la même occasion, que le sexe de son mari, quelle navait jamais vu, devait vraiment être très petit par rapport au monstre qui était entrain de la posséder. Elle me lança un sourire éclatant et me fit signe de continuer, comme cela, en force. Elle était heureuse davoir mal. Elle me dit par la suite que cétait pour elle un nouveau dépucelage. Un vrai dépucelage !
Jétais heureux de lui montrer la force dun vrai zob. Jen étais même très fier. Cétait en quelque sorte ma revanche sur le sort qui mavait fait perdre Fadhela et qui lavait offerte à un homme qui ne la méritait pas. Il avait eu la primeur de son vagin et de son hymen, mais moi javais limmense bonheur de démontrer à ma belle que jétais le seul qui la méritait. Jétais celui qui lui montrerait pour la première fois de sa vie ce que signifiait un vrai zob dhomme. (Je sais pertinemment que cétait de la prétention de ma part, mais cétait réellement ce que je ressentais en ce moment béni où je prenais possession pour la première fois du vagin de Fadhela). Je ne pris plus aucune précaution et my pris presque brutalement pour la suite. Jentamai, en puissance et en force, un mouvement de va-et-vient qui me fit pousser à moi des rugissements successifs, marque dun plaisir intense et à elle des sifflements de plaisir, mélangés à des petits cris de douleur, qui disparurent assez rapidement. Le plaisir fini par prendre le dessus sur la douleur de mes pénétrations brutales et violentes. Je regardais ma belle qui pâmait de plaisir; elle avait les yeux qui brillaient, la bouche grande ouverte et de la bave qui dégoulinait de la commissure de ses lèvres.
Elle nétait plus consciente de la situation dans laquelle elle se trouvait. Elle prenait un plaisir immense sous mes coups de boutoir et tout son corps me demandait de continuer de pilonner ainsi sa chatte. Elle tirait de plus en plus frénétiquement sur ses bras, pour que je la pine encore plus fort et plus vite. Des mots sortaient de sa bouche, mais mourraient sur ses lèvres avant de devenir audibles et compréhensibles. Je la regardais qui essayait de me dire quelque chose ; mais elle ny arrivait pas. Sa respiration devenait de plus en plus haletante et il me semblait quelle nallait pas tarder à , si je narrêtais pas. Mais je ne voulais pas arrêter. Et elle non plus. Elle voulait jouir très fort et elle sentait quelle nallait pas tarder à le faire. Je suivais sur son visage la progression de limmense orgasme qui pointait son nez. Ses lèvres sétirèrent tellement quelles devinrent toutes blanches, comme si tout le sang quelles contenaient avait disparu ; sa bouche souvrit largement et se tétanisa ; et ses yeux se fermèrent complètement. Et soudainement, elle se relâcha complètement et partit dans un râle de mourante, long, rauque et tellement sonore que tous les voisins avaient dû entendre. Et elle eut une longue, très longue, jouissance tellement intense, quelle sombra, un moment, dans lévanouissement.
Je continuais à pilonner la chatte de ma mie. Cétait tellement bon ! Son vagin étroit était un vrai paradis pour mon manche. Cétait serré, chaud et humide ! Jy allais toujours avec autant de force et de puissance. Je limais de plus en plus fort la paroi du magnifique vagin. Jy allumais un énorme incendie que seul pouvait éteindre la tonne de sperme que je sentais arriver. Encore un aller-retour et je poussai un immense «aaaaah !» de jouissance, aussi sonore que le râle quavait poussé quelques secondes avant moi Fadhela. Jéclatai comme une bombe, en envoyant une énorme giclée de foutre, épais et brûlant, au fond du vagin, brulant et inondé, de ma maitresse. Je continuais un moment les allers-retours de mon manche dans le vagin tétanisé de Fadhéla et éjaculai tout ce qui me restait de sperme. Une grande partie ressortit sous laspiration de mon manche et alla sétaler sous les fesses relevées de ma maîtresse. Jétais complètement essoufflé et me laissai tomber sur le ventre de Fadhela, qui avait toujours du mal à retrouver sa respiration normale. Elle me repoussa doucement, pour mindiquer que je pesais trop lourd et que je lempêchais de reprendre se respiration. Je sortis mon manche encore dattaque du vagin de ma mie et mallongeai à côté delle, en essayant moi aussi de reprendre tous mes esprits.
Quand les choses se remirent en place, quand la chambre arrêta de tourner autour de nous, et quand notre respiration reprit son rythme normal, nous ouvrîmes les yeux pour contempler le résultat de notre première union. Lunion de nos deux corps et de nos deux âmes. Nos yeux étaient maintenant rivés les uns aux autres. Je lisais dans son regard comme dans un livre : elle était heureuse ! Heureuse davoir vécu quelque chose de très fort ; quelque chose quelle avait espéré vivre, il y a de cela vingt-cinq ans, mais quelle ne vécut que ce jour-là. Elle mavoua en me regardant toujours dans les yeux, quelle navait jamais imaginé ou même rêvé dun plaisir aussi intense. Je vis quelques larmes couler de ses yeux. Elle pleurait parce quelle avait maintenant conscience quelle avait perdu les meilleurs moments de sa vie, sans connaître le vrai bonheur. E moi, toujours aussi goujat, jétais content de moi. Je venais de prendre ma revanche sur le sort. Et Fadhela, savait maintenant que cétait avec moi quelle aurait dû se marier Et surtout, elle savait pourquoi !
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